Inauguration du musée d’Elssoop-Rassirakk
Depuis le mois d’août 1002, les œvres de Mikelsen, originaire de Dah Staedt, insérées
dans l’exposition permanente de ce tout récent musée d’art contemporain, sont visibles.
Le musée est situé dans la ville d’Elssoop, Loendt de Rassirakk, au Centre-Tribord du pays.
Le cadre en est un vaste parc boisé avec plusieurs infrastructures conçues pour accueillir
des performances en tout genre.
Les tableaux, bas et hauts relief et les sculptures de Mikelsen qui sont présentés tournent
autour de thèmes morbides qui peuvent impressionner les jeunes spectateurs ou leurs parents.
La mort et la mutilation en sont les leitmotivs sans oublier les situations oedipiennes.
|
Démantèlement d’un trafic d’épice
L’affaire Vénus-Plage
Tout a commencé par l’annonce faite par le gouvernement de Sémavie. Un
saisie d’épice hallucinogène était effectuée dans le port sémavien. Qui
dit épice, dit S’lip S’leed. Après une brève enquête et la demande
d’information auprès de trois personnes dans le Loendt de l’Inklumah,
preuve était faite que des citoyens S’lip S’leedr mais aussi sémaviens
et, jusqu’il y a peu d’une ou de plusieurs autres nationalité.
Grâce aux informations recueillies auprès des citoyens S’lip S’leedr
interpellés, le lieu de regroupement de cette association de malfaiteurs
était découvert. Une fois les douaniers sur place, la situation,
soudainement se dégradait. Cinq homme qui occupaient la bâtisse que les
douaniers de la brigade du Dryland (Mellow, Sémavie et S’lip S’leed)
allait fouiller faisaient feu sur les forces de l’ordre. Bilan : deux
blessés du côté des douaniers.
Quelle doit être la réponse des forces de l’ordre dans ce cas ? Nous
savons tous que, dans notre pays, la police et les douaniers ne sont pas
armés. C’est un fait qui sert souvent de prétexte à des votations et des
débats sans que, heureusement ; des modifications ne se fassent jour.
Qu’est-ce qui aurait changé si les douaniers avaient été armés ?
Peut-être auraient-ils voulu jouer aux héros et aurait dû s’en sortir
avec plus de deux blessés à moins que ce ne soit les occupants de la
maison qui aient été blessés, voire tués.
Cette affaire de Vénus-Plage, du nom du port sémavien où le trafic a été
découvert, a aussi une autre conséquence. C’est que l’épice est produite
dans l’Inklumah, or notre souverain, Mykkson Reekhaerdt, est issu de se
Loendt et sa famille par son frère en détient toujours le titre de Duc.
C’est, en quelque sorte, un discrédit qui est jeté sur la famille
royale. Certes, le Roi lui-même, ou même son frère n’y sont pour rien.
Ce n’est que la vindicte populaire, avec un peu de mauvaise foi de la
part de républicains malhonnêtes, qui, pour une minorité il est vrai, bafoue ainsi
son honneur.
Le fait le plus étonnant reste la présence de Tangayikais parmi les
trafiquants. Que le commerce d’épice hallucinogène ou même
pharmaceutique soit rentable a suffit. Les Tangayikais interpellés
étaient tous, par un biais ou un autre, lié à l’Armée de Libération du
Kébek-Rénanie (ALK-R). Et voici le S’lip S’leed et la Sémavie devenus le
théâtre de membres d’un groupe terroriste d’un autre continent par la
faute du manque de conscience civile de citoyens s’lip s’leedr et
sémaviens.
|
Pour sa première manifestation sportive internationale qui avait lieu
sur le territoire national, il semblerait bien que le succès ait été à
la clef.
Quelques critiques d’abord. Le manque de clarté de certaines
communications de la Fédération Sportive du S’lip S’leed. Certains
participants se sont retrouvés un peu perdus entre les « première
journée » et « quatrième course ». Il semblerait bien que les
organisateurs aient un instant oublié que, par exemple, deuxième journée
pour les compétitions sportives signifie qu’on est passé de, disons, la
huitième de finale en quart de finale. Oublier telle chose est un peu
dommage pour des organisateurs de compétitions sportives. La deuxième
critique qui n’est pas directement imputable à la S’lip S’leedr
Ghimnasja Federassja (SSGF) porte sur le fait que les chiens d’Eriador,
à cause d’un problème de connectique, ont faillit ne pas pouvoir
participer aux compétitions.
N’oublions pas, cependant, que, globalement, tout s’est bien passé. La
foule a bien été au rendez-vous avec environs 4.000 spectateurs par
jour. L’intégralité des Monts Alfra a aussi bénéficié de cette afflux.
De nombreux visiteurs étrangers ont, en effet, profité de leur présence
dans notre pays pour aller à la découverte de l’Avant Tribord du S’lip
S’leed.
Soulignons aussi la présence d’habitants du Mellow parmi le comité
organisateur. Leur soutien logistique a été primordial.
|
|
Les errements du centralisme
Depuis peu, les nations d’Alliance ont appris que
l’Empire du Tangayika,
pays du continent de la Soudanie récemment réouvert sur l’extérieur, connaissait
une vague de terrorisme depuis la fin 1001. Un groupement terroriste
dénommé l’Armée de Libération du Kébék-Rénanie (ALK-R) et un mouvement
politique souterrain, le Gouvernement Provisoire de la Rénanie
Autodéterminée (GPRA) font parler d’eux.
D’un côté nous avons un gouvernement centralisé qui ne reconnaît aucune
réalité à l’existence de minorités nationales. De l’autre, nous avons
des mouvements qui ne reconnaissent aucun bien fondé à l’existence d’une
communauté nationale. Le premier semble, suivant les dernières
informations (mais comment interpréter les dernières demandes
d’information sur les pays qui ont connu des référendum modifiant leurs
frontières ?) se diriger vers encore plus de pouvoir dans encore moins
de mains (l’Empereur du Tangayika souhaiterait briguer un troisième
mandat alors que l’actuelle Constitution l’en prévient). Le deuxième
frappe aveuglément et, comme souvent dans ce cas, s’est la population
qu’il est sensé libérer qui reçoit le plus de coups.
Le centralisme, pour nous S’lip S’leedr, nous a toujours semblé être une
aberration. Le Tangayika en est l’archétype. Bien sûr, le fédéralisme
peut aussi mener à des problèmes qui lui sont propres. Mais, il me
semble, il a toujours une qualité qui lui est propre : le respect de la
population par ses parties constituantes et non comme s’agissant d’une
entité mythique.
|
Brèves
L'Alnéae
et sa capitale, Breith-Xadul, s'aprêtent à recevoir les
premiers Jeux Internationaux d'Alliance.
Notre voisine, la Fédération Impériale de
Dragoria fait son
retour sur la scène internationale. Son gouvernement annonce son refus de participer au
l'Agence de Coopération du Dryland.
Les vacances se prolongent à la SDN.
Notre gouvernement est toujours dans l'attente d'un vote sur une possible réoragnisation
et une ouverture vers le problème de la peine de mort.
Mise en place d'une brigade douanière au sein de l'
Agence Internationale de Coopération du
Dryland.
|
Votations nationales
Êtes-vous pour l’interdiction d’extradition vers les pays pratiquants
des condamnation à emprisonnement supérieure à 10 ans ?
oui : 32%, non : 29,7%, blancs et nuls : 16,1%, abstention : 22,2%
Êtes-vous pour l’utilisation de poisons pour dératiser les bâtiments ou
locaux d’usage public
oui : 34,2%, non : 42,6%, blancs et nuls : 6,2%, abstention : 17%
Êtes-vous pour l’instauration d’une règle commune pour les élections
dans le groupes de pression ?
Oui : 16,2%, non :64 ;9%, blancs et nuls : 10,6%, abstention : 8,3%
Le canal du milieu
|
Canal du milieu : arrêt des travaux
Le ministre de l’équipement a annoncé l’arrêt de le creusement du canal
du milieu dans le Loendt du Delta, canal qui n’avait
jamais pleinement reçu l’assentiment populaire ou même gouvernemental.
Le canal du milieu était censé délester les deux canaux déjà existants
dans le delta de l’Intrahnam. L’ouverture de cette tranchée en plein
milieu d’une zone humide exceptionnelle tant par sa faune et sa flore
que par sa culture locale avait rencontré les foudres des habitants du
lieu. Ce mécontentement devait se concrétiser avec la création du
GIDP.
Les mouvements écologiques nationaux ou des autres Loendt devaient aussi
s’emparer de l’affaire afin de tenter de la faire clapoter. En mai de
cette année avait une nouvelle fois lieu une votation proposant l’arrêt
des travaux. Mais rien n’y faisait.
Alors pourquoi ce revirement ?
D’abord, preuve a été faite qu’une meilleur gestion des flux était
possible avec quelques aménagement des deux autres canaux. Avec la
construction d’une super-écluse et de trois nouvelles aires de
dégagement ainsi que le dragage du port de Peonuntien, le canal bâbord
devrait augmenter de 35% ses capacités de trafic. La branche Tribord,
avec son affluent le Viedt ne demanderait même pas la moitié de cet effort pour
l’augmenter de 50%.
Il semblerait bien qu’il y ait eu là un manquement de la part de l’État,
principal pourvoyeur de fond pour le chantier. Il est toujours difficile
de reconnaître ses erreurs. L’ouverture programmée d’un canal ave la
Sémavie a aussi participer à redistribuer la donne.
Avec l’arrêt programmé des travaux, le GIDP a voté son auto-dissolution
et le GSSP a aussitôt promis d’intégrer tous les adhérents qui en ferait
la demande. Il semblerait donc qu’on s’oriente de plus en plus vers un
parti écologique national qui chapoterait les mouvements locaux. C’est
déjà le modèle des deux autres grands partis nationaux. Normalisation
chez les écologistes, donc.
|
LA RÉDACTION VOUS DIT AU PROCHAIN NUMÉRO!
|